
SANTIAGO, 28 Novembre.- Il reste 28 minutes avant que le concert de Tokio Hotel à Santiago débute, mais ceux qui sont déjà à l'intérieur du Movistar Arena ont accès à une «Preview» claire de ce que sera le ton de la soirée. Le son bref de plusieurs instruments en test de sons pour le spectacle de ce soir crée l'hystérie chez les jeunes de 15 ans présents, bien préparés à accueillir leurs idoles.À partir de ce moment jusqu'à la fin du concert, le campus du parc O'Higgins s'est converti en foyer d'adolescent énergique qui n'ont pas froid, même si elles ne comblent environ que 70% de la capacité du lieu.À 21hrs02, les lumières se sont éteintes et il fut clair que Tokio Hotel est un groupe qui comprend ses fans et exploite Toutes les ressources permises pour maintenir l'anxiété du public à son plus haut point. Après avoir arrêté de crier pendant quatre minutes, le Rideau sur
la scène s'est finalement levé, et le guitariste est alors apparu, suivi par le bassiste et le batteur et, par la suite, une haute plate-forme a émergé du sol, dévoilant la star de la soirée : Bill Bill Kaulitz. Ouvrant le spectacle avec «Noise», Kaulitz a repris le spectacle avec son Allure saisissante qui se caractérise par son ambigüité et son costume avant-gardiste. Accoutré d'un costume noir serré combiné avec des applications distinctes sur la partie supérieur, comprenant des broches, des brillants et des tubes fluorescents, le chanteur de 21 ans a imposé son autorité sur le scène en jouant au total 19 chansons de rock/pop allemand incluant les titres les plus populaires tels que : «World behind my wall», «Ready, set, go»,«Automatic» y «Moonson».Le reste du groupe composé de Gustav Schäfer (batteur), Georg Listing (bassiste) et Tom Kaulitz (guitariste), a fait contraste avec le style du chanteur, avec un habillement légèrement glamour mettant en valeur la facette extravagante de l'image du groupe. Par exemple, le guitariste Tom Kaulitz qui, comme le dit son nom, est le frère Juneau du chanteur, mais s'habille d'une façon complètement distincte à celui-ci. Avec quatre albums dans le corps, le groupe allemand a interprété correctement la setlist (La même que pour le Brésil et le Pérou) qui était ni improvisée ni spontanée, mais qui répondait pleinement aux attentes du public, qui chantait chaque chansons comme si elles étaient toutes les plus grands hits de leur carrière. Un graphique de scène du futur, l'utilisation de pyrotechnie et l'énergie débordante de fans qui portaient pratiquement Tous des chandails du groupe et qui s'est organisé pour avoir des ballons colorés pour la chanson «Darkside of the sun», ont défini le panorama du concert qui s'est terminé à 22.hrs36. Après deux retours sur la scène, ils ont remercié l'accueil chaleureux du public chilien.
Traduction de SaxxBillKk
lovely--moco-chang, Posté le lundi 29 novembre 2010 19:17
facette extravagante :D